Le Skipper

J’ai grandi dans un ranch des Sandhills du Nebraska, une vaste mer de sable recouverte d’herbe, de chevaux et de bétails noirs. 

En tant que véritable homme du nouveau monde, j’ai quitté le ranch à un âge précoce, à la recherche d’aventures et d’horizons plus vastes, que ce soit dans les airs ou sur les mers. À la fin des années 1980, j’ai passé quelques années en mer avec la Marine Américaine. Depuis lors, les bateaux font partie de ma vie quotidienne, même à l’intérieur des terres. Je suis devenu pilote professionnel au milieu des années 90 et depuis, j’ai accumulé quelque 11 000 heures de vol. Il s’agit en grande partie de canadair basse altitude effectuant des raids aériens pour lutter contre les incendies et la protection des cultures. Je suis également photographe amateur depuis mon adolescence et j’ai récemment travaillé sur plusieurs projets de photographie aérienne et de films à travers les États-Unis. J’avais à peine un an lorsque les premiers concurrents du Golden Globe ont pris le départ en 1968 et n’ai pris conscience de la course qu’une douzaine d’années plus tard en lisant « A world of my own ». Puis en 2016, en tant que spectateur du Vendée Globe 2016, nous avons appris que la GGR était en train d’être recréée et la flamme s’est rallumée.

Le Bateau

Doug Dean a pris la décision d’acheter le Rustler 36 One and All, de Uku Randmaa.

Pourquoi le GGR ?

C’est un rêve que j’ai fait avant même de savoir qu’il existait. J’ai lu “A World of My Own” à l’âge de dix ans et l’idée m’est restée en tête depuis. J’aimerais être le premier Américain à gagner cette course. C’est la seule course à la voile à laquelle j’ai toujours rêvé de participer.

Les meilleurs et les pires aspects

La recréation d’une course rétro classique et la “famille” des concurrents. Le pire, c’est peut-être toute l’affaire des médias sociaux.

Liens

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