Très jeune, j’ai découvert ma passion pour la voile et la mer. Dès le premier jour où j’ai navigué, j’ai voulu passer plus d’heures dans l’eau. Au début de la vingtaine, je naviguais déjà du lundi au dimanche chaque semaine, principalement de la navigation côtière.

À partir du milieu des années vingt, je me suis davantage concentré sur mon travail d’architecte naval alors que je naviguais encore quelques milles au large.

Participer à la Golden Globe Race 2022 était une envie qui me venait du plus profond de moi : cela me paraissait naturel et la bonne course pour naviguer.

Faire le tour du monde en solitaire a toujours été un rêve pour moi. Quand j’ai découvert la GGR et ce que cela signifie de revenir à l’essentiel, mon rêve est devenu plus fort et j’ai trouvé un chemin clair.

Je suis l’un des derniers skippers à s’engager dans cette aventure et avec moins d’expérience au large. Mais je suis convaincu qu’en travaillant dur avec une grande équipe de personnes dans Venturi Projects, je serai bien préparé sur la ligne de départ.

J’espère que vous pourrez tous me rejoindre dans le voyage qui commence aujourd’hui jusqu’à la fin de la course. Assurez-vous de visiter VenturiProjects.xyz et de participer à nos plateformes sociales.

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Abandon: le 1er décembre 2022 sur avarie de gréement
Arnaud était confronté depuis plusieurs jours à de graves problèmes de berniques et de gréement qui ont empêché sa navigation au prés. L’impossibilité de remonter au vent à cause de la compression du mât sur l’épontille ne lui permettait plus d’atteindre Cape Town à temps pour réparer et continuer vers Hobart avant la fermeture de la porte le 31 janvier 2023.

De Blois, France

Arnaud GAIST découvre la navigation dans le métro parisien où il se plonge dans les œuvres de Moitessier, Slocum, Vito Dumas etc.

À l’âge de 23 ans, il décide de quitter sa carrière de photographe pour acheter un voilier de 7,6 m, apprend à naviguer et part pour un voyage de 3 ans. À 25 ans, il traverse l’Atlantique seul et dans des conditions difficiles, sans moteur, sans moyens de communication, sans embarcation de sauvetage, sans radar, sur des cartes parfois tracées à la main, sans salle de bains, assurance ou budget prévisionnel.

Il partage le point de vue de Moitessier selon lequel, en attendant d’être parfaitement préparé avant de partir, on risque de ne pas partir du tout.

Aujourd’hui, à 48 ans, bien qu’il navigue maintenant dans un bateau plus confortable et plus sûr, il n’a pas perdu son appétit pour les longues traversées solitaires, le plancton fluorescent dans les sentiers derrière le voilier lors des nuits sans lune, les longues vagues qui se gonflent, le son de l’eau à la proue… Pour lui, le rythme et l’approche de la traversée sont aussi importants que l’arrivée. En 2018, lorsqu’il a entendu parler de la GGR 2018 pour la première fois, il était évident que cette course était faite pour lui et son bateau : une version Barbican 33 mk2. Engagé et déterminé à tout donner pour mener ce voyage à son terme et boucler la boucle.

Sa devise : « Ce n’est pas parce que c’est impossible que nous ne devrions pas le faire ! »

Facebook: https://www.facebook.com/arnaudgaistggr/

Le Bateau

Le bateau est simple, robuste et bien pensé, plutôt étroit et sous toilé, il est gréé en cotre.

Photos techniques des bateaux

Vidéo

Abandon le 14 novembre 2022 – casse mécanique
Deux jours après la porte photo de Cape Town, le régulateur d’allure de Damien a cassé une nouvelle fois, alors qu’il était en 3ème position.  Il n’avait pas cette fois les pièces de rechange pour réparer en mer comme il l’avait fait auparavant. PRB s’est arrêté à Cape Town le 14 novembre sans continuer en classe Chichester, sans la motivation nécessaire pour Damien de remonter au classement pour retourner une fois de plus mais hors-course.

South Finistere, France

Né le 20 février 1983 à Moëlan-sur-Mer, Damien est un navigateur, coureur au large et préparateur reconnu. Il a notamment préparé le bateau de Jean Le Cam pour le Vendée Globe 2016 et l’Imoca PRB de Kevin Escoffier pour le Vendée Globe 2020. Coté navigation, Damien a couru le Tour Voile avec Bernard Stamm en 2015, participé à 7 saisons en Figaro Bénéteau avec plusieurs étapes classé dans le Top 10, et de nombreuses navigations en Imoca avec Bertrand de Broc, Bernard Stamm, Jean Le Cam, Kevin Escoffier

J’ai participé 7 fois à la Solitaire du figaro. La distance moyenne d’une édition est de 1700 milles, soit environ 12 000 milles au total. J’ai également participé à la transat Bretagne Martinique 2013 en Figaro 2 solo, avec une distance de 3500 milles, ainsi qu’à la transat AG2R 2012 en double. Je prévois de faire une qualification avec mon bateau GGR cet été.

Le Bataeu

Photos techniques des bateaux

Vidéo

Facebook: facebook.com/damien.g.damien.7

Country of Entry: Maltese. Nationality: Maltese.

Daniel a grandi sur l’eau, passant la plupart de ses jeunes années à sillonner la Méditerranée sur le bateau familial l’été. Passionné par les récits de la Golden Globe originelle et des autres grands marins ayant écrit l’histoire, il oriente sa carrière vers l’industrie du yachting et se fraye rapidement un chemin vers le monde des super yachts. Pour ce faire, Daniel se rend au Royaume Uni afin d’intégrer une des écoles de marine les plus réputées au monde. Daniel a tenu de nombreux postes de capitaine, aussi bien sur des bateaux à moteur que des voiliers et il accumule plus de 50 000 nautiques en mission et encore bien d’autres miles non enregistrés. Mettant à profit sa connaissance de l’industrie maritime, il établit son chantier naval à Malte. Passionné d’aventures à la voile, il ne pouvait que rêver de suivre le sillage des géants de la course au large. Le retour de la Golden Globe Race en 2018, course à l’ancienne comme en 1968, a permit à beaucoup de penser que leur rêve était maintenant possible, la GGR 2022 sera pour lui, ce rêve devenu réalité.

Né en 1942, David Cowper vit et travaille à Newcastle upon Tyne.

Bien qu’il soit expert en construction et membre de la Royal Institution of Chartered Surveyors, la voile est sa passion depuis son plus jeune âge.

En 1974, David a participé et terminé avec succès The Observer Around Britain Race à bord de son Wanderer, Airedale. En 1980, Cowper réalise le tour du monde en solitaire le plus rapide en passant par le Cap Horn, le Cap de Bonne Espérance et le Cap Leeuwin à bord d’Ocean Bound, un sloop de 41 pieds Huisman conçu par Sparkman & Stephens, battant d’un jour le record de 226 jours du Gypsy Moth IV de 53 pieds de Francis Chichester.

Deux ans plus tard, il réitère l’exploit, naviguant contre les vents d’ouest dominants et contournant les cinq caps en 237 jours, battant de 72 jours le record du 59 pieds British Steel de Chay Blyth, devenant la première personne à passer le Cap Horn dans les deux sens en solitaire ; il détient également le record du temps le plus rapide en solitaire dans chaque sens.

En 1980, Newcastle qui fêtait le 900e anniversaire de la ville, lui a décerné le titre Freedom of the City. Cowper est ensuite passé aux bateaux à moteur, et en 1984-1985 a fait le tour du monde vers l’ouest à bord d’un ancien canot de sauvetage RNLI Watson en bois de 42 pieds reconverti, le Mabel E. Holland, via le canal de Panama, devenant ainsi la première personne à faire le tour du monde en solitaire dans un bateau à moteur.

Wikipedia.

Le Bateau

J’ai grandi dans un ranch des Sandhills du Nebraska, une vaste mer de sable recouverte d’herbe, de chevaux et de bétails noirs. 

En tant que véritable homme du nouveau monde, j’ai quitté le ranch à un âge précoce, à la recherche d’aventures et d’horizons plus vastes, que ce soit dans les airs ou sur les mers. À la fin des années 1980, j’ai passé quelques années en mer avec la Marine Américaine. Depuis lors, les bateaux font partie de ma vie quotidienne, même à l’intérieur des terres. Je suis devenu pilote professionnel au milieu des années 90 et depuis, j’ai accumulé quelque 11 000 heures de vol. Il s’agit en grande partie de canadair basse altitude effectuant des raids aériens pour lutter contre les incendies et la protection des cultures. Je suis également photographe amateur depuis mon adolescence et j’ai récemment travaillé sur plusieurs projets de photographie aérienne et de films à travers les États-Unis. J’avais à peine un an lorsque les premiers concurrents du Golden Globe ont pris le départ en 1968 et n’ai pris conscience de la course qu’une douzaine d’années plus tard en lisant « A world of my own ». Puis en 2016, en tant que spectateur du Vendée Globe 2016, nous avons appris que la GGR était en train d’être recréée et la flamme s’est rallumée.

Le Bateau

Doug Dean a pris la décision d’acheter le Rustler 36 One and All, de Uku Randmaa.

Pourquoi le GGR ?

C’est un rêve que j’ai fait avant même de savoir qu’il existait. J’ai lu “A World of My Own” à l’âge de dix ans et l’idée m’est restée en tête depuis. J’aimerais être le premier Américain à gagner cette course. C’est la seule course à la voile à laquelle j’ai toujours rêvé de participer.

Les meilleurs et les pires aspects

La recréation d’une course rétro classique et la “famille” des concurrents. Le pire, c’est peut-être toute l’affaire des médias sociaux.

Liens

Website: www.dougdean.com

Facebook: www.facebook.com/ddggr2022

Instagram: www.instagram.com/dougdeanggr/

Du sud de l’Angleterre, Royaume-Uni (grandir dans le Leicestershire; élever les enfants dans le Buckinghamshire, et maintenant entre Weymouth et Dorchester)

Enfance de Mirror Dinghy naviguant sur Solent. 1975 RN Midshipman @ BRNC Dartmouth. 1977 Lymington à Alicante en sloop en bois de 45 ‘(Zest). À partir des années 1980 Plusieurs voyages «week-end» transmanche sur la Manche. Circumnavigation 2005-06 avec Clipper Ventures (via Panama) .Livraison en 2006 de Bilbao au Royaume-Uni. 2006-2015 Lac Léman (Genève, Suisse) .Expédition d’hiver 2014 en Géorgie du Sud (avec Skip Novac). De l’Uruguay / des îles Falkland / de la Géorgie du Sud / de Stanley. 2016-2017 Skippé notre Legend 33 en temps partagé hors de Poole. Retour 2018 à bord du GypsyMoth IV, Bucklers Hard aux Sables. 2020 Achat de Border Reiver, livraison à Weymouth, et pas beaucoup plus à cause de (sanglant) Covid19!

Qualifications: 43 000 nm. milles marins enregistrés.

Le Bateau

2020 Achat de Border Reiver, livraison à Weymouth, et pas beaucoup plus à cause de (sanglant) Covid19!

Abandon GGR 2022 : 8 septembre 2022 – raisons personnelles
Edward a annoncé son abandon le 8 septembre et est rentré aux Sables-d’Olonne après 4 jours de course. Noah’s Jest et son skipper étaient tous deux en bonne forme. Il a pris sa retraite pour des raisons personnelles et se prépare pour 2026.

De Halifax, Nova Scotia, Canada

Edward Walentynowicz est tombé amoureux des aventures maritimes alors qu’il était un jeune étudiant universitaire en Pologne, où il a commencé à naviguer sur la mer Baltique. Il a ensuite suivi des programmes de formation, a pratiqué la voile en mer, a obtenu le titre de “Polish Yacht Master Ocean” et celui de “Sailing Instructor”. Edward n’est pas un marin professionnel ; il est ingénieur électricien professionnel dans le domaine de la marine et de l’automatisation industrielle. La voile est le hobby de sa vie qui a commencé en 1974. Il aborde la GGR 2022 avec une expérience de plus de 80 000 milles marins, dont 45 000 milles marins en haute mer et neuf traversées de l’Atlantique (dont trois en solitaire).

Au Canada, Edward a navigué sur Acapella IV (Express 30M de 29 pieds) au Armdale Yacht Club, parcourant plus de 40 000 milles à bord de ce bateau. Il a suivi les programmes RYA Yacht Master Offshore et Ocean en Nouvelle-Écosse. En outre, il a apprécié de naviguer en Patagonie, en Polynésie française, aux Canaries, aux Açores, dans le Golfe de Gascogne et d’autres endroits.
Il a été inspiré par les aventures de Joshua Slocum en Nouvelle-Écosse. Le premier voyage en solitaire de Joshua ayant commencé par un adieu au phare de Sambro aux abords d’Halifax, Edward pense souvent à son idole, lorsqu’il navigue lui aussi depuis le port d’Halifax. Il trouve toujours le temps d’aider les marins qui visitent, offrant ses conseils et expertise, et a aidé de nombreux skippers avec leur routage météo.

Son expérience de la navigation par gros temps lui vient de plusieurs traversées de l’Atlantique Nord sur des voiliers de 30 à 60 pieds, dont deux sans GPS. L’aventure de la double traversée de l’Atlantique Nord en double, sans escale, avec le contournement du phare d’Eddystone sur Acapella IV, a été nommée « événement récréatif de l’année » par la Canadian Yachting Association.

Ce marin passionné toujours très professionnel et bien préparé, a de grandes capacités de planification. Edward espère que la GGR sera son prochain grand défi, et qu’en mettant à profit sa vaste expérience au cours des mois de la course, il grandira à la fois spirituellement et mentalement. Sa nature compétitive, associée à son attitude de travailleur acharné, feront de lui un challenger redoutable.

Expérience de la voile

Plus de 76 000 milles dont 8 traversées de l’Atlantique, deux en solitaire à bord du Noah’s Jest.

Pourquoi le GGR ?

La voile est ma passion depuis plus de 40 ans. La circumnavigation en solitaire et sans escale est mon rêve depuis près de 40 ans également, depuis que j’ai lu “A World of My Own“, “La Longue route” et “Sailing Around The Word” avant ma première double traversée de l’océan Atlantique en 1984. Joshua Slocum est né en Nouvelle-Écosse. Il a commencé son voyage autour du monde à partir de Westport, Brier Island, Bay of Fundy – Island of the Digby Neck, Nouvelle-Écosse, Canada. Sa première traversée de l’Atlantique “Spray” a commencé aux abords d’Halifax. Nous visitons l’île de Brier chaque année. Les visites à Brier Island et la navigation autour d’Halifax sont une source d’inspiration supplémentaire pour la circumnavigation en solitaire.

Je sais que travailler seul, résoudre des problèmes seul et naviguer seul pendant longtemps n’est pas un problème pour moi. Je suis très intéressé par les aspects spirituels de notre vie sur Terre, et j’espère avoir le temps de m’épanouir spirituellement pendant le GGR 2026.

Les meilleurs et les pires aspects

Le meilleur : Les participants, les organisateurs, le public des Sables d’Olonne et le moyen le plus sûr de réaliser ses rêves de tour du monde en solitaire et sans escale.

Le pire : Ne pas avoir de famille ni d’amis pendant une bonne partie de l’année. Organiser la vie familiale sans ma participation.

Le Bateau

Edward a acheté « Noah’s Jest », un Rustler 36 de 1990 et espère que les souvenirs de voyages des propriétaires précédents resteront avec NJ.

Au printemps 2020, le bateau a commencé son premier refit chez Rustler Yachts Ltd. Falmouth, Royaume-Uni, afin d’être prêt pour son voyage vers Halifax, Nouvelle-Écosse, Canada, qui a malheureusement pris beaucoup plus de temps que prévu.

Noah’s Jest est resté coincé au Royaume-Uni pendant plus de 14 mois, Edward ne pouvant pas le récupérer en raison des restrictions de voyage imposées par le covid-19.
Finalement, le 11 avril 2021, il a eu l’occasion de voyager pour la première fois au Royaume-Uni, à Londres, puis en quarantaine à Falmouth.

Noah’s Jest a été mis à l’eau 2 semaines plus tard et après une courte préparation, Edward a navigué vers la France pour arriver aux Sables-d’Olonne le 21 mai 2021, après un voyage de 378 miles en solitaire sur son nouveau Noah’s Jest.

En France, il a continué à préparer le bateau pour le retour à la maison : la traversée de l’Atlantique. Les nouvelles voiles, qui attendaient depuis un an, ont été livrées avec l’aide de Jérôme, le propriétaire de Voilier Tarot, avec qui Edward a pu installer un nouveau mât et un nouveau gréement.

Le 16 juillet, il entame enfin son voyage de retour. Il se poursuit pendant plusieurs semaines par un temps généralement clément et des vents légers. Le schéma météorologique l’a conduit sur la route du sud, légèrement au-dessous des îles Açores. Pendant qu’il naviguait là-bas, il surveillait le développement de l’ouragan Henry et il a choisi de rester au sud jusqu’à ce qu’Henry choisisse sa trajectoire. Il a fallu sept jours de plus avant qu’il soit évident que l’ouragan allait toucher terre sur le territoire américain, et Edward a pu prendre la route de la Nouvelle-Écosse sans rencontrer Henry. Il n’a touché que les restes de l’ouragan, avec un vent de plus de 40 nœuds.

Le 30 août 2021, son voyage en solitaire sans escale des Sables-d’Olonne, en France, à Halifax, en Nouvelle-Écosse, au Canada, a finalement été accompli, couvrant 3 850 milles nautiques. Il s’agissait d’une qualification pour le GGR 2022. Edward s’est retiré de la GGR 2022 après 4 jours de course pour des raisons personnelles.

Photos techniques des bateaux

Vidéo

Facebook: www.facebook.com/edward.walentynowicz

Abandon le 19 janvier 2023 – avarie de gréement
Elliot Smith est arrivé à Fremantle le 19 janvier après avoir parcouru 5000 miles sous gréement de fortune. Il avait cassé son beaupré proche la côte sud-africaine et perdu son étai de rechange par-dessus bord après avoir essayé de le réparer en mer. Il a continué à naviguer au fractionné sous trinquette et grand-voile à deux ris, le gréement étant soutenu par l’étai de trinquette et les bastaques, mais n’avait pas le temps de réparer et passer la porte de Hobart avant le 31 janvier.

De Jacksonville Beach, Florida, USA

Il semble que l’univers ait mis sur ma route un tour du monde et je suis de plus en plus conscient que je dois le faire en solitaire. Toute ma vie, j’ai lu et écouté d’innombrables histoires inspirantes de beauté, d’aventure, de peines et de difficultés.

Je me suis souvent trouvé assez privilégié pour avoir mes propres histoires et récits épiques. J’en suis reconnaissant. J’ai le sentiment que cette course me poussera aux extrêmes de l’esprit humain, ce qui, je l’espère, m’aidera à rendre la pareille à mes inspirations, et même à poursuivre les merveilleuses histoires d’aventure et de recherche de la vérité en soi.

L’océan m’a apporté tant de vérités merveilleuses et je pense que le style et la dureté de la course m’aideront à me débarrasser des millions de distractions que le monde nous jette à la figure. J’ai hâte de me « déconnecter » et de me connecter au monde réel sans écrans ni GPS, et de tirer les dures leçons de l’expérience océanique en solitaire.

Deux ans de navigation en tant que second dans la société de charter San Francisco Sailing Co (6 jours par semaine 2017-2019). Je navigue sur mon propre bateau, Nortena (1963 Pearson triton), sur la côte Est des États-Unis et sur les îles des Bahamas pendant les hivers 2018-2020.

Le Bateau

Photos techniques des bateaux

Elliott’s Website: https://www.elliottskipper.com

Facebook: https://www.facebook.com/ElliottSkipperSmith/